Formation garde équestre

 

Suivre une formation de garde à cheval, garde équestre, agent de sécurité à cheval, … quel intérêt ?

Voici une bonne question à se poser avant de s’inscrire dans une telle formation.

Au même titre, quelle est la valeur d’une telle formation ? Est-elle reconnue ? Me permettra-t-elle de trouver du travail ?

 

Autant de questions pertinentes et d’inquiétudes justifiées avant de débourser une « coquette » somme et de s’engager sur plusieurs mois.

 

Soyons très « directs » et surtout très « transparents ». On pourra vous dire tout ce qu’on veut, une chose et son contraire, … mais aucune formation n’est obligatoire ou reconnue dans les écoles de formation de ce genre. C’est d’ailleurs pour cela que certains essayent de « vendre » en même temps un diplôme « qualifiant » de CQP-APS. Mais qui veut réellement devenir « agent de sécurité à cheval » ? Est-ce le 1er objectif ? Bien que ce métier soit un débouché possible, tout comme l’agent d’accueil et de surveillance à cheval, le steward à cheval, … que ce soit dans des parcs d’attractions, des centres de vacances, …

Si par contre, vous annoncez une formation sur environ 4 mois (maximum), durant laquelle il faut encore passer le fameux CQP-APS, vous retirer environ 6 semaines de cours et surtout entre 1500 et 2000 euros pour cette partie.

Est-il réellement raisonnable de se dire qu’on va apprendre un métier de futur policier à cheval en à peine plus de 2 mois ? Peut-on apprendre la partie équestre comme futur agent de sécurité à cheval en 2 mois ? Comment acquérir les compétences équestres suffisantes quand les critères à l’entrée ne sont pas très élevés et qu’il faut mettre toute une promo à niveau ? Comment, ensuite, acquérir les B.A.-BA en matière de techniques de patrouilles, positionnement sur la voie publique, réactions adaptées aux situations de crises (que ce soit un malaise, un enfant perdu, une rixe, une manifestation, un accident, un flagrant-délit, …) ?

Former un futur professionnel de la sécurité à cheval sous-entend de la rendre autonome. Fini la vie de cavalier de club où on peut demander conseil à un instructeur, au gérant de centre équestre. Il s’agit d’être à même d’être autonome, de pouvoir gérer la cavalerie et le matériel afin d’optimaliser les coûts de fonctionnement. Ne pas crier « au secours » au vétérinaire, maréchal-ferrant ou à l’ostéopathe à la moindre alerte, mais pouvoir gérer certains situations « de base » et « normales », peut sembler une évidence mais n’est pas simple pour un cavalier sortant d’un club. Or, que ce soit pour sa future mairie, entreprise ou institution, le futur professionnel à cheval doit maîtriser les différents paramètres de sa fonction. Aussi, une formation minimum s’impose, avec des thèmes fondamentaux.

 

Nos dirigeants ayant l’expertise de tout ce qui est proposé aujourd’hui en France dans la matière qui nous occupe, notre école s’est fixé des limites en termes de participants. Vous ne verrez donc pas chez nous des promotions avec 35 – 40 stagiaires qui ne permettent pas d’atteindre des résultats qualitatifs et pédagogiques.

 

Nous partons du principe que nos stagiaires, demain diplômés, seront nos ambassadeurs. Ce qui fait la différence en matière de reconnaissance, c’est la reconnaissance que le secteur lui-même accorde aux formations et concepts. Ainsi, le Bajutsu Special Police est internationalement reconnu depuis les années 90. Mais, si nous voulons un autre exemple, lié à l’expertise de nos dirigeants, citons celui des formations de chauffeurs de sécurité-VIP. Aucune formation n’existe officiellement reconnue en Belgique ou ailleurs. Or, depuis 2010, avec SL Consultance, Stany LEDIEU et Charlotte CATANANTI ont formé des chauffeurs pour différentes institutions nationales (de nombreuses ambassades, parlements et cabinets ministériels en Belgique), mais aussi internationales (auditeurs-inspecteurs pour l’OTAN, marché de formations pour le Conseil de l’Union Européenne, le World Economic Forum, …) mais ont aussi formés les chauffeurs pour le Ministre français de la Santé et celui de la Défense. Si le secteur vous reconnait une compétence, cela équivaut à tous les diplômes.

 

Que vous soyez donc un futur stagiaire ou un parent … inquiet peut-être, nous vous invitons à comparer ce qui est actuellement proposé.

Vous devez comparer :

  • Le coût de la formation en rapport avec la durée, et vous interrogez sur la pertinence de la durée de formation

  • Analyser le référentiel pédagogique afin de voir si la formation correspond à quelque chose de réellement pertinent (on a pu trouver des cours de pollution de l’eau dans des référentiels par exemple, …)

  • L’expertise de l’organisme de formation et/ou de son équipe pédagogique (qui sont ces personnes et quelle est leur légitimité).

 


L’Académie Nationale de Gardes Equestres vous garantit ce gage de qualité.



Si diverses démarches sont actuellement en cours en matière de reconnaissance, elles ont principalement pour objectif de permettre le financement futur des formations par certains organismes et établissements. La reconnaissance du projet et du savoir-faire (« know-how »), l’A.N.G.E. en dispose déjà (et celle-ci est renforcée par une équipe pédagogique professionnelle).

 

 

En sortant de l’Académie Nationale de Gardes Equestres, le stagiaire sera capable :

  • de maîtriser les paramètres de sa future activité de professionnel de la sécurité en brigade équestre,

  • de disposer des compétences minimales en matière de connaissance du cheval, de sa bio-mécanique, son hippologie, la science équestre, les premiers soins et son alimentation,

  • de disposer des connaissances utiles en matière d’institutions publiques, services publics et réglementation ad-hoc,

  • de présenter les concours utiles pour intégrer des brigades montées dans certains services publics (à la condition de détenir le niveau d’études minimum requis pour ledit concours).

 

L’Académie s’engage à mettre en œuvre tout son savoir-faire et son relationnel pour mettre ses stagiaires à l’emploi et de les suivre dans la mise à l’emploi.

Des participations à différentes manifestations et relations partenariales sont ainsi envisagées pour faire connaître nos stagiaires et leur qualité d’apprentissage.

L’organisation d’un colloque annuel et d’un concours national de dressage du cheval de police, ont, notamment comme objectifs, de faire connaître nos stagiaires et de les mettre en relation avec les intervenants de leur futur secteur professionnel. Ainsi que de faciliter l’intégration en stage en entreprise, y compris au sein d’une unité hors France.

L’Académie s’engage également à développer tout projet personnel avec des stagiaires qui pourraient être porteurs de leur propre projet (exemples : développement un poste de surveillance pour un propriétaire foncier, projet de création de brigade équestre, …)